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Merci Onirim. Pas de souci pour modifier la fiche, Armaeth avait justement fourni la source SVG pour faciliter les modifications. Si tu es d’accord, je serai ravi de pouvoir ajouter ta variante.
D’ailleurs, comment as-tu fait pour modifier le fichier ? La fiche a été créée avec une ancienne version de Inkscape, et la conversion du SVG pour utilisation avec les versions plus récentes semble faire disparaitre les cadres décoratifs. J’ai aussi tenté d’éditer le PDF avec un éditeur de PDF(PDFStudio), mais le logiciel ne reconnait pas le mappage des codes de caractère, alors que la police Constantia employée par le document est bien installée.
Merci Onirim.
La résolution du PDF est relativement faible pour limiter sa taille et cela impacte la netteté de la fiche de personnage.
Sur la page où tu as téléchargé la fiche d’Armaeth, tu trouveras aussi la fiche de Ramon+1, qui corrige l’erreur que tu as relevée.
Merci Onirim !
Je n’ai jamais joué à Rolemaster, mais j’étais un grand fan de JRTM, sa version “édulcorée”, que je n’avais pas trouvé particulièrement complexe (même si j’occultais quelques règles un peu fastidieuses comme le calcul des PX liés aux trajets).
Pour les modificateurs, tu n’es pas le seul à préférer d’autres échelles de valeurs, que ce soit pour faciliter les calculs ou avoir plus de nuance : il me semble avoir lu quelques suggestions de ce genre dans le forum BRP central, par exemple. Tant que ça marche pour toi, c’est le principal !Bonjour tanzawa,
Le livre de règles contient un cadre de fantasie assez simple d’accès et un scénario d’introduction.
L’éditeur de la VO, d101 games, propose :
- The Savage North, un recueil d’aventure avec un cadre de jeu pouvant s’insérer dans celui du livre de règles.
Life and Death, une campagne dans un univers de fantasie post-apocalyptique (si j’ai bien compris).
Crucible of the Dragon, un cadre de jeu plutôt typé antique-fantastique.D’autres éditeurs proposent des jeux complets basés sur Openquest (en anglais). Au programme, tu as :
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de la science-fiction(River of Heaven)
de l’historique-fantastique dans l’Angleterre de la Première Revolution (1642-1651).
de la fantasie tolkienesque avec elfes, nains et orques (The Age of Shadow).Note qu’une nouvelle édition VO est en préparation. La VF sera sûrement mise à jour elle aussi, avec un décalage de quelques mois par rapport à la VO.
Le gros des modifications de la prochaine édition est indiqué ici : https://basicroleplaying.org/topic/9480-openquest-3rd-edition-current-status/
Est ce que je peux jouer avec les cadre de Mythras?
Tu peux, mais toutes les informations techniques ne seront pas forcément évidentes à convertir, car OpenQuest et Mythras, malgré leurs similarités, sont deux systèmes différents.
Les deux univers les plus simples à utiliser seraient Méros, le cadre de jeu esquissé dans le livre de règles de Mythras, et la Contrée, qui sert de décor à la campagne Contre le Chaos et au scénario le Trésor d’Hessaret.
Tu peux télécharger librement le chapitre de présentation de la Contrée : https://d100.fr/wp-content/uploads/Mythras/La%20Contr%C3%A9e.pdf
C’est un cadre d’épée & sorcellerie volontairement simple, qui peut servir de point de départ pour une campagne perso. Il faudra adapter la liste des sorts des cultes, mais ça devrait être faisable sans trop de souci si tu ne cherche pas une fidélité totale à la version Mythras.La partie qui pose problème est donc celle-ci : “La créature est également consciente de toute forme de vie dans un rayon égal à sa compétence Volonté en mètres, ce qui complique les tests de Discrétion contre elle.”
Pour ma part, je joue le pouvoir ainsi : le personnage connait l’emplacement des formes de vie à portée, pour peu qu’elles ait une TAI de 1 au moins, mais ne peut pas les identifier : un arbre, un orc ou un merle auront la même “empreinte vitale”. Du coup, le pouvoir n’est pas forcément très utile dans un environnement riche en vie comme une forêt ou une ville.
Ta variante me parait intéressante. As-tu pu la tester ?
besoin d’être concentré ou bien capacité naturelle permanente
A priori, les talents mystiques n’obligent pas le personnage à rester concentrés après leur activation. Ou plus précisément, Leur durée est laissée à l’appréciation du MJ, mais d’après les exemples donnés, elle semble en général liée à une tâche précise et relativement courte. Personnellement, je fixe une durée maximale d’une heure pour les invocations de traits. Mais, dans le cas de Sens Vital, tu peux estimer par exemple que la surcharge d’informations sensorielles rend le talent difficile à utiliser plus de cinq minutes.
Ce serait me faire un grand honneur !
Superbe : je suis fan de l’emblème d’Asbéra ! Excellente idée d’avoir décrit les emblèmes et expliqué leur symbolique dans certains cas.
Merci Aquilon !
Je ne suis pas dans la tête des auteurs, mais peut-être que la règle répond plus à un souci d’équilibre de jeu que de réalisme. Si c’est toujours le bras servant à parer qui subit des dégâts, l’attaquant ayant une arme plus grande a peut-être la partie un peu trop facile : dès qu’il réussit un coup, il risque de réduire les points de vie du bras, rendant tôt ou tard le défenseur incapable de parer. Et s’il obtient un effet spécial, il peut choisir Maximiser les Dégâts en étant sûr d’atteindre le bras.
Après, il faut garder à l’esprit (ce que je ne fais pas toujours d’ailleurs) que dans Mythras, la parade ne se résume pas forcément à bloquer un coup avec une arme ou un bouclier : elle peut aussi être un pas de côté ou une feinte de corps ou une combinaison de ces manœuvres, ce qui rend cette affaire de localisation aléatoire un peu plus vraisemblable.
Désolé pour le temps de réponse, Exelsior, j’avais raté ton message.
Arasmo, quand tu parles de l’armure de la localisation touché lors d’une parade. On est bien d’accord que dans le cas d’une parade au bouclier, on parle de la localisation du bras qui tient le bouclier ?
Pas forcément, étant donné que la localisation du coup est déterminée aléatoirement (sauf si un effet spécial comme Choisir la Localisation est utilisé).
Le déroulement de la séquence de combat rapproché est indiqué à la page 90 :1. À son tour, l’attaquant dépense un point d’action, effec-
tue un jet de style de combat et note le résultat.
2. S’il le désire, le défenseur dépense un point d’action,
effectue aussi un jet de style de combat pour sa défense
et note le résultat.
3. Les niveaux de réussite sont comparés selon le principe
du jet différentiel (voir page 51).
4. Le combattant avec le meilleur jet peut obtenir un ou plu-
sieurs effets spéciaux de combat (voir ci-dessous).
5. Si l’attaquant a obtenu une réussite ou une réussite cri-
tique, il peut lancer les dégâts de l’arme plus son modifi-
cateur de dégâts (s’il s’applique). Le cas échéant, la locali-
sation du coup est déterminée.
6. Si le défenseur a réalisé une réussite ou une réussite cri-
tique, il réduit les dégâts reçus en fonction de la taille des
armes utilisées.